29 Octobre 2025
Je ne résiste pas au plaisir de partager « Journal d’un prisonnier » de Gilles-William Goldnadel.
Il a reçu, à juste titre, le prix Franc-Parler 2025 à l’occasion du 2e Printemps de la Liberté d’expression organisé à Perpignan en hommage à Boualem Sansal.
Dans ce journal, l’avocat et écrivain franco-israélien imagine son propre procès dans une France où la ‘Transe Insoumise’ aurait pris le pouvoir.
Voilà une façon très humoristique de décrire des personnages aux patronymes jubilatoires qui confirment que l’auteur n’hésite pas à recourir au second degré, incompréhensible pour certains, voire interdit de nos jours.
Cela posé, ce livre a le mérite de récapituler différents délires idéologiques, notamment le wokisme qui sont dans l’air du temps, notamment aux USA.
Il s’agit donc d’un ‘récit dystopique’ où le narrateur, Ghislain Gronadel, décrit une France marquée par la violence et la répression. Il évoque des événements tragiques, tels que les émeutes ou les pogroms, ainsi que la dégradation de la société et de la culture française. Le récit se termine par le fait qu’il se retrouve prisonnier dans un camp, illustrant à la fois son angoisse et son indifférence face à la situation actuelle.
Ce livre est disponible à la Grande Bibliothèque d’Algarve en version Pdf ou en version Ebook. Contacter Anne-France Chapuis en message privé pour l’obtenir via Messenger ou WhatsApp ou en indiquant votre adresse mail à annefrance.chapuis@gmail.com
Voilà une occasion de revenir, avec G.W.Goldnadel, sur ses combats constants contre l’antisémitisme, l’islamisme, le nouvel antiracisme et le néo-féminisme.
Ce prix Franc-Parler récompense une parole franche et un engagement sans relâche pour la liberté d’expression.
A lire ! C’est jubilatoire !
PS : Pour mieux comprendre ce qu’est un récit dystopique, voilà la définition du dictionnaire : « la dystopie, au contraire de l’utopie, fait le récit d’une société imaginaire difficile ou impossible à vivre, pleine de défauts et dont le modèle ne doit pas être imité. »
Cela nous renvoie, immanquablement, à « 1984 » de George Orwell, autre bel exemple de dystopie ! (cf. ma sélection de l’année dernière).