20 Novembre 2024
Voilà la sortie littéraire attendue avec impatience par de nombreux lecteurs, fidèles à Valérie Perrin : « Tata ».
Après les coups de cœur « Changer l’eau des fleurs » et « Les Oubliés du dimanche » (j’occulte « Trois » qui ne m’avait pas ravie autant que les deux premiers), Valérie Perrin nous plonge à Gueugnon, ville de Bourgogne des années 2010 avec Agnès, une réalisatrice de films, revenant dans cette ville, puisque sa tante, Colette Septembre, est morte, enfin « remorte » puisque enterrée… depuis trois ans. Or, la police la contacte pour reconnaître le corps. Agnès pense à une erreur ou à un homonyme.
Mais cette inconnue a laissé ses dernières volontés et des cassettes audio à l’attention d’Agnès. Qui est vraiment Colette ? Qui est donc enterré à sa place ? Pourquoi sa tante a-t-elle laissé croire qu’elle était morte ? Pourquoi se cachait-elle depuis trois ans ? Décidée à résoudre cette énigme, Agnès va se rendre compte qu’elle est l’enfant de plusieurs histoires.
Ce livre est disponible à la Grande Bibliothèque d’Algarve en version Pdf ou en version Ebook. Contacter Anne-France Chapuis en message privé pour l’obtenir via Messenger ou WhatsApp ou en indiquant votre adresse mail à annefrance.chapuis@gmail.com
L’idée de départ de ce roman, commencé comme un ‘polar’, m’a paru très originale mais j’avoue ne pas avoir été convaincue par le déroulement de l’intrigue. Trop de récits se mélangent, trop de thèmes superficiellement traités à mon goût (le destin des Juifs, la violence conjugale, la pédophilie, la vengeance, le déterminisme social, le racisme, le foot…). Un roman de 640 pages ! « Il n’y a pas de gens sans histoire » est pourtant le sous titre de ce roman.
Cela n’est que mon propre ressenti qui ne doit pas m’empêcher de le partager pour autant ! N’hésitez surtout pas à faire votre propre avis (et à me le retourner !). Car voilà à la fois un thriller et une saga familiale qui a su captiver de nombreux lecteurs, de la première à la dernière page.
A vous de me faire changer d’avis, n’étant surtout pas une « influenceuse », vocable devenu très ‘tendance’ !!!