5 Avril 2023
Cette semaine, je ne résiste pas à l’envie de partager la lecture du 3e et dernier opus de Christian Perronneintitulé : « Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu ».
Je ne vais certainement pas me faire que des amis, la liberté d’expression étant une valeur à géométrie variable (cf. le livre de Christine Kelly que j’ai proposé il y a quelques semaines …). J’assume ce choix, persuadée que le débat contradictoire est encore possible et surtout indispensable.
On ne peut donc dénier à Christian Perronne une belle ténacité dans ses propos. Il revient une nouvelle fois sur ces années de crise sanitaire où il a subi des attaques sans précédents, aussi bien sur ses compétences de médecin que sur son intégrité morale et éthique. Spécialiste internationalement reconnu dans le domaine de l’infectiologie, il a pourtant été pendant quinze ans l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements.
Il est disponible à la Grande Bibliothèque d’Algarve en version Pdf ou en version Ebook. Contacter Anne-France Chapuis en message privé pour l’obtenir via Messenger ou WhatsApp ou en indiquant votre adresse mail à annefrance.chapuis@gmail.com
Le professeur Perronne défend donc imperturbablement ses convictions et répond ici à une série de questions sur la Covid-19, sur la vitesse de propagation du virus dans le monde et sur les variations de mortalité d’un pays à l’autre. Il interroge sur l’efficacité des dits « vaccins » ou encore sur le lobbying des laboratoires pharmaceutiques.
Il s’est en fait borné à porter publiquement mais sans invective une voix discordante sur un sujet d’intérêt général : la santé publique. Il a donc osé dire tout haut ce que beaucoup de ses confrères pensaient tout bas (on peut les comprendre, la radiation étant en ligne de mire…).
Ancien expert auprès de l’OMS, le professeur Perronne s’est vu sévèrement reprocher sa position très critique sur la gestion de cette crise sanitaire. Notons que le Conseil de l’Ordre des médecins vient de lui donner raison contre ses accusateurs au moment où il publie cet ouvrage.
Son questionnement infatigable quant aux choix gouvernementaux opérés pendant la pandémie aura permis qu’aujourd’hui, enfin, soit ouvert le débat sans se retrouver pour autant taxé de « complotisme ». Ce mot, tellement galvaudé aujourd’hui, a perdu tout son sens.
L’avenir, que j’ose espérer proche, nous apportera certainement les réponses.